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Carnets de voyage : Première transatlantique vers les US . . . Novembre 2012 MSC poésia 2299


Les temps sont propices au retour sur les souvenirs.
Alors, pourquoi pas :

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- Petit matin sympathique a L' aéroport de Nice ce 11 Novembre.

Nous arrivons sur site autour de 11 h 30, nous sommes convoqués pour 12 h 45, nous avons le temps. Des groupes sont déjà autour des responsables MSC qui enregistrent les présents eux, convoqués bien avant nous, leur donnent un rendez vous, " ici dans.. x.. minutes ", et les laissent vaquer a la découverte, des lieux. L' instant est a la satisfaction... d' y être !!! pas de retard, de maladie ou autres contrariétés.... Nous y sommes : c' est parti !
Deux MSC : le Poésia et le Fantasia sont au départ, un Costa également, ses passagers autour de nous, ou plutôt, au milieu de nous. Il y a du monde, mais tout est sous contrôle, Nous embarquons gentiment dans les cars affectés, a 13 h 10, nous démarrons. Rien a voir avec le débordement de la semaine passée, ou nos enfants, et petits enfants rejoignaient le Splendida..... en partaient de Nice vers 14 h 30.

Voyage ordinaire d' un tunnel a un viaduc dans ce car, ou peu réalisent vraiment que nous allons passer 17 jours, et soirées ensembles..... au bout du périple, a Miami, l' ambiance sera tout autre pendant la journée d' excursions avant le grand saut du retour.

Nous arrivons a Gènes ou un guidage " léger " nous invite a progresser vers le terminal. (Effectivement : vers ou progresserions nous ?) La haut, une grande salle tout en longueur est organisée pour nous amenez dans un grand serpentin humain, débouchant sur un préposé fort aimable et souriant qui nous désigne un collègue, lui, placé face a un des nombreux guichets, celui la venant de se libérer. Les formalités sont rapides : Passeport et " ESTA " bien en évidence, nous enregistrons notre CB, la petite photo (...qui vous fait honte chaque fois que vous descendez, ou montez sur le bateau) (et la :... il y en a)..un passage devant le photographe... comme une dernière procédure avec le contrôle des sacs, Et vous savourez le passage sur la passerelle... vous n' êtes déjà plus sur terre.... la, pour vous empêcher de monter..... : il en faudrait un paquet !

Le bateau, découvert par son grand hall, est magnifique. l' enfilade de salons pour rejoindre, a l' avant, les ascenseurs vous laisse admiratif,...: tout le voyage la dedans.... et ce n' est qu' un petit morceau. Tout visiter : devient indispensable. Vous êtes déjà presque débordé dans votre emploi du temps.
La cabine est choisie au pont 9, a l' avant (pas trop haut pour apprécier la mer au plus prêt). Son balcon sur babord ne donne pas sur le Fantasia et le quai, mais sur la ville, et devra être au soleil le matin (le " petit dej " sur le balcon), vu notre cap pendant la traversée. Cette cabine, a l' avantage d' être sans vis a vis. le centre du bateau, a ce niveau, offre l' hébergement a une partie du personnel, sans accès sur notre coursive. Nos cabines sont réellement pour 2 personnes, pas de canapé double transformable en lit d' appoint, et, donc, peu de monde, que des couples dans cette coursive. Pas négligeable, matin, soir, et nuit. Rangements, salle de bains, literie impeccable. Nous allons découvrir le bateau.

A peine en découverte,.... et déjà " paumé "..... exercice de sécurité ! : retour, jaquette, descente, regroupement dans un salon... et bla bla en 5 ou 6 langues ! Sujet déjà traité sur ce forum, rien a ajouter.

Le départ... a l' heure !! Nous retrouve sur les ponts 13 (ceux qui n' aiment pas le vent un peu frais) et 14 (les autres) pour un appareillage... le premier,... sans musique, sans " coup de corne " !!!. Le fantasia semble prêt a nous emboiter la vague.
Retour a l' intérieur, dans l' ambiance nouvelle, plus chaude, conviviale, et pleine de promesses. Premier " retour a la cabine ".... il y en aura beaucoup d' autres, mais nous savourons, nous sommes presque déjà des loups de mer (pour le " vieux loup de mer ", nous attendrons un peu) Les valises sont la... que le volontaire se désigne, qui pour les monter sur le lit, qui.... pour tout le reste ! les taches sont partagées suivant une logique qui me convient parfaitement.

Nous sommes au deuxième service : 20 h 30.
Le premier soir joue toujours beaucoup pour la convivialité tout au long du voyage, et le notre est 2,5 fois plus long qu' une croisière classique. Nous avons souhaité une table de 6. Nous arrivons sur une table de... 4. Nous sommes les premiers. A cette instant, nous savons que cela sera " tout bon "... ou pas ! Nous attendons.... personne ne vient. Autour de nous, beaucoup de tables incomplètes, voir a 4 pour 8, et des tables vides..... Une bonne chose, le restaurant est composé de plusieurs espaces abritant les différentes nationalités. tout autour de nous, des francophones, plus loin, des Américains / anglais... puis, ???, nous ne les entendons pas.
Renseignements glanés auprès du maître d' hôtel : Nous n' avons pas de convives a notre table. Le bateau n' est pas complet, nous sommes un peu dispersés... nous pataugeons dans l' aisance. Si nous souhaitons nous organiser autrement : aucun problème.
Le lendemain, un membre de VF, vu a Nice, qui voyage avec un couple d' amis, vient nous voir, et propose de les rejoindre (a 4, ils sont sur une table de 8) (Merci encore Yves), mais un autre couple rencontré au déjeuné du lendemain, eux aussi... seul, (Même le midi, la langue est un critère de composition de table)
a déjà opté pour des dîners a notre table, et l' acte est instantanément enregistré.
Certaines tables s' équilibrent de la sorte, et la proximité de tables de même langue offre une ambiance agréable et ouverte tout au long des multiples soirées a tables.

Le bémol qui choque : " Ils " ont oublié de tirer des menus en français !!!..... excuses : dés demain cela sera réparé. Oui, mais..... bon !

Nous vivons ensuite la fin de notre.... journée d' embarquement, le spectacle aux décors grandioses nous inspire confiance, les ambiances musicales différentes d' un salon a l' autre,.... et pas trop fortes pour la grande majorité,... le casino.... Ce soir : dodo (surtout qu' il est déjà près de minuit,) nous avons le temps... 17 jours... Ouaouh !
Dehors, dans la nuit, le Fantasia est a coté de nous tout illuminé (nous devons être beau aussi)..... la mer, le vent... la, par contre, pas des plus calme.... mais nous ne savons pas encore.

Nous nous couchons, joliment bercée.... a demain.
.... Je continue : première nuit.

.... Après les questions d' usages, dans un couple bien organisé : " - ou as tu mis ceci ?.. - est ce que tu préfères que je mette ça la ?..., ect,... en tenue de nuit, nous examinons le carton du " petit dej en cabine " de demain.
Le document est accessible, car bien en évidence,.... nous nous répétons : " qu' ils ont oubliés d' être bête sur ce coup la ", et nous plongeons dans les promesses de réjouissances.
Des offres de : café - lait - thé - chocolat - froid / chaud, côtoient les viennoiseries - pains de toute nature - brioches - croissants - muffins (chauds Tire la langue), pour terminer : les accessoires : beurre - confiture - miel - jus de fruits - marmelade, remplissent toute une page. Sur la couverture : votre identification, et des choix d'heures de distribution de 7h 30 a 10h (de mémoire).
Pas de charcuterie ni d' oeufs, ou yaourts, mais pour nous, cela suffit.
Le document accroché sur notre poignée de porte, le réveil réglé 10 minutes avant l' heure demandé.... envoyé la nuit que l' on dorme !

Le bateau coupe l' axe de la vallée du Rhône, sur un cap qui nous a fait voir, au loin, les petites lumières de la cote française (sniff, émotion), puis, plus rien. Nous taillons dans l' épaisseur du golf...... et dans la zone de vents plus forts.
Sur la TV de la cabine, nous avons en permanence : la position du bateau, son parcours, sa vitesse,... celle du vent et son origine (du nord, nord ouest, ect)
Ce soir, les rafales sont autour des 100 km/ h par notre travers, puis par notre travers arrière, nous entendons ce vent siffler dans notre baie vitrée... (et il vient de l' autre coté du bateau). Nous sentons, dans notre lit, les effets de tout cela. Aucun danger, mais la, pas d' hésitation : Nous sommes bien en mer !

Ce premier matin, au delà d' une nuit un peu secoué et sifflante, mais réparatrice néanmoins, va nous permettre de mieux connaitre le bateau.
Dehors, il ne fait pas beau, toujours un vent 50 / 60 Km /h par l' arrière, une mer formée d' une houle naissante et de vagues en " bazar " chargées de moutons, ne font pas bouger le navire plus que cela. Un peu en arrière, mais de l' autre coté, le Fantasia.... " il aurait pris la corde pour rentrer avant nous a Barcelone celui la... que nous ne serions pas étonnés ! la loi du... plus gros, sans doute.
Dans les salons, sur 2 ponts, les 6 et 7, la vie s' est installée doucement. Chacun revient suivant ses intérêts sur le potentiel du bord, le bureau des excursions (pour Barcelone) semble attirer les derniers candidats. D' autres a la " compta " et a la réception son déjà dans le vif du sujet... tous s' installent d' une façon ou d' une autre.
Sur les ponts extérieurs :
- le pont 7, sous les chaloupes, permet un tour " presque complet " du bateau, l' arrière seule a traverser éventuellement par l' intérieur, mais sinon, toujours au contact au plus près de l' océan (la mer pour l' instant), l' avant offrant un passage venté entre les deux bords au dessus de la scène du théâtre. La partie très a l' avant est fermée, mais d' énormes hublots de plus de : 1,50 m de diamètre permettent la vue sur la formation de la vague d' étrave... et cela vaut le coup (et vaudra le coup plus tard)
- le pont 13 : piscine avant et arrière, les deux au centre du bateau, séparées par un bar, et une scène extérieure. de grandes baies vitrées protège du vent, mais pas de couverture sur les piscines ! des chaises longues partout ailleurs. L' ensemble s' emboîte a l' arrière dans la cafétaria, qui se termine elle même en restaurant gastronomique le soir, avec vue sur le sillage de notre puissante machine.
- le pont 14 : allées de part et d' autre du bateau, pour des enfilades de chaises longues, ou regarder arrivées et départs. A ce niveau, vous pouvez faire le tour par l' arrière... si les chaises longues ne sont pas trop en vrac.
- le pont 16, sur tout l' avant du bateau, accessible par le pont 15 dernier point ascenseur : un havre de paix ou vous ne trouvez que des chaises longues.... Nous y reviendrons.
Tout le monde découvrent, s' installent ; mais ce matin, en extérieur, cela sera... reconnaissance seulement !... plus ne serait pas raisonnable.

La population définie ici par le terme : " passagers ", forment 3 grands groupes : - les Allemands - les américains -... et les autres !
Ces derniers, dont nous, les français pour un nombre déclaré autour de : 200, pour être la troisième population, compte, aussi, des Espagnoles (que nous allons embarquer bientôt a Barcelone) des Anglais, des Suisses,.... et quelques Italiens !! (... si si, il y en avait ! Bon, nous ne pouvions pas le savoir : " on ne les avait pas entendu" Clin d'oeil,) et quelques nationalités isolées.
l' ensemble pour : 2000 a 2100 passagers suivant les sources. Sur un navire, qui au complet embarque 3100 personnes : c' est vivable.
La moyenne d' age.... je parle de quantité représentative, les plus jeunes (pour les messieurs bien sur,) autour de : 45 / 50, et beaucoup de retraités ensuite, soit une moyenne,... qui n' a rien a voir avec les petits tours classiques surtout des vacances. Logique. En plus des 3 ou 4 poussettes, je ne compte pas plus de 4 enfants d' une dizaine d' années, probablement US.

Tout ce petit monde, réparti dans ce beau matériel, made in France, il faut le souligner, s' apprête a rentrer dans le port de Barcelone. Le Fantasia est, effectivement passé devant nous, (et nous ne pouvons rien dire, : ils sont plus nombreux que nous), il plonge dans le port par l' avant, va au fond du bassin, balance son avant sur la gauche, son arrière sur la droite, fait son demi tour, et enchaîne, dans la foulée, son accostage par l' arrière en un seul mouvement : PAF ! le long du quai, tout simplement,.... y a plus qu' a mettre les ficelles !...... Ouaouh, un truc, de 330 m..... (nos dames, (ou certaines), ont une pensée émue sur leur dernier " créneau " !
... Moi aussi, mais je suis sur qu' il s' est entrainé a l' abri de nos regards.
C'est notre tour...... la largeur du Fantasia en moins pour nous,.... et sa marche : nous aussi, du premier coup, devant lui... Nous sommes très fiers !

Nous connaissons, comme beaucoup cette ville, nous décidons d' aller d' abord déjeuner. Nous nous rendons au restaurant du pont 5, " la Fontaine ", (nous n' irons jamais au self) et constatons que beaucoup de convives partagent nos goûts. Nous supposions le service moins chargé, mais ce n' est pas plus mal, qu' un grand nombre n' apprécie pas le " mouvement " (toujours dans le correct....) du self au pont 13. (" bazar " qu' il n' y a d' ailleurs pas.)
Un grand : " bonjour ", adressé franchement au personnel qui nous accueille, et nous sommes dirigés vers une table de français. L' organisation est appréciée, ce couple très agréable et sympathique placé la, quelques instants avant nous viendra, le soir même a notre table, qui deviendra également la leur, pour toutes les soirées a venir. Cela ne s' annonce pas mal. Passons au menu !.... et en français cette fois.

La mise en place des acteurs et des décors est longues, mais nécessaires.
Je vais également dîner, (mais pas aux Fontaines Fou,) et reviendrais, pour les plus courageux demain. Le contexte fixé dans les esprits, cela ira plus vite.

... Bon, a table, et, autre question d' usage dans les couples organisés : "... qu' est ce qu' on mange ? "

Barcelone.
Nous déjeunons avant de descendre du bateau. La différence entre les repas du midi, et ceux du soir, est principalement dans le fait qu' a midi, votre table sera composée principalement de francophone un peu partout dans le restaurant.
(le " bonjour " en pénétrant dans le restaurant : pour beaucoup, la précision : français, éventuellement si le message n' est pas bien passé. Mais la : rare.)
Le soir, les espaces étant organisés autour des langues : le personnel de votre table a de bonnes notions de français... ce qui n' est pas (toujours) le cas au déjeuné.
La carte propose : 2 entrées, 2 potages, 2 assortiments de pâtes, 4 plats principaux avec toujours du poisson, fromages, 4 desserts. Bon..... nous faisons dans le simple, voir sobre : entrée, poisson, dessert, un petit café " expresso LONGO ", si vous voulez dormir avant un délai d' une semaine, et nous sortons.

Le temps est agréable : soleil, 20 degrés... pas de vent !!!, parfait. Nous avons acheté au dernier moments 2 transferts MSC pour l' entrée du port. La présence du Fantasia avec nous, sur une escale aux excursions archi connues, nous ayant fait craindre une affluence au bus de la ville... pour le retour. Entre 5 et 6000 passagers les 2 bateaux, la saturation au retour pouvait nous perturber.
La promenade classique, a pieds : Ramblas, quartier Gothique, port de plaisance, offre l' opportunité de se dégourdir les jambes, et de savourer cet ensoleillement, et beaucoup aussi.... la plénitude de cette nouvelle vie.
Retour au bateau, comme dirait " E.T " : " MAISON " ! Le car nous arrête au milieu des drapeaux MSC : Nous sommes chez nous !
Les passagers espagnoles ont déjà fini d' embarquer, il ne semblaient pas très nombreux. Nous présentons la " carte magique ".... et cette horrible photo apparait sur l' écran de contrôle.... (bien la sécurité : correct, sérieux !.. Pas un seul n' a éclaté de rire, de la croisière)
Retour a la cabine, " posage " d' affaires, et direction le " thé " : 200 m plus a l' arrière, pffff !
La vue est agréable sur la ville, le port. Nous sommes au pont 13, peu de monde,... mais alors, des buffets !!!!! " oumf, il faudra revenir, nous ne finirons pas tout aujourd' hui !
La non plus, juste une pause, je reviens.

de Barcelone, et de bar en bar.

Une structure libre service propose le thé, et ce qui va : avec, a coté, en plus, en " rab ".... les limites du raisonnable sont franchies dés le troisième pas dans cet espace très aéré et spacieux dit : - " la cafet ",...nous regardons par réflexes nos montres a notre approche des : - hamburgers, frites, saucisses, charcuterie, ect ect.
Il faut reconnaître qu' une bonne saucisse enroulée dans une tranche de jambon, trempée dans son thé..... le must !
Nous nous contenterons (réjouirons, même) de petits fours, dont des bébés " Paris Brest " dont mes papilles, et ma ceinture, ont encore le souvenir. (oui, il n' y a pas que le décalage horaire qu' il faut " récupérer ")
L' endroit se remplit au fur et a mesure des retours, mais tout reste agréable, les présentoirs sont toujours bien achalandés. Les premiers arrivés partent sur les ponts, ou descendent pour vaquer a diverses activités qui ne sont pas encore des habitudes, mais, ceux du " premier service ", a: 18 h...., (oui, 1 et 8, pas d' erreur) ont a ce moment une orientation différente de ceux du " deuxième service ", a 20h 30.

Nous voyons, et entendons le Fantasia partir. Il passe tout a coté de nous, lentement, les passagers des deux bords se font des grands signes, déjà un esprit de famille ?, eux partent pour le Brésil, nous, les Etats unis,...nous allons nous suivre jusqu' a Gibraltar, mais jamais nous revoir. Le personnel d'un bar, un oeil discret sur l' autre bateau connait sa destination. Mais il me fait comprendre que le notre est mieux :...... il va en " américa " ! et ça, c' est énorme dans son regard.

La soirée,.. les soirées pour nous, du deuxième service, voit la préparation des silhouettes et autres douches autour de 18h, les ponts extérieurs ne sont plus en vogues : il fait nuit, ou presque suivant la latitude. Les salons s' animent de différentes ambiances musicales, les boutiques sont ouvertes en navigation, le casino, l' espace internet, photos, autant d' endroits a visiter, " comme ça ", ou avec un but. Autant d' endroits que le passager du deuxième service, qui n' est pas dans sa cabine, trouve pour son usage exclusif : le premier service... dîne. A nous le bar au style musicale qui nous plait ce soir, pour siroter... des choses, ou d' autres
A partir de 18 h 50, les installations dans le théâtre débutent, le spectacle, pour nous est a 19 h,
Le file conducteur de cette traversée sera l' Opéra.
5 soirées s' animent avec la participation : D' un ténor, un Bariton, deux sopranos. L' orchestration, enregistrée, ou avec les musiciens du bord est a la hauteur. ajoutée aux quelques apparitions dans d' autres spectacles..... pour un certain nombre,.... cela fait... beaucoup.
Et c' est beaucoup, les autres productions du bord (pas d' escale pour inter changer les artistes) sont de qualité : des artistes, danseuses, danseurs, acrobates et autres contorsionnistes, évoluant toujours dans des décors, et avec des costumes, particulièrement soignés. Les lumières ne sont pas en restent. Des souvenirs de représentations en robes a crinolines, style robes de cour du 17 ieme siècles, ou de tenues " belles époques " avec des chorégraphies qui collent a la musique : " un sacré boulot, de belles réussites. (Certains n' ont plus le niveau.)
Mais, c"est évident, la :- L' Opéra.. le bol... quand même, au bout de deux semaines et demi.
Par contre, cette soirée a partir de 22 h 30, la haut, sur les ponts extérieurs, par une douce nuit tropicale..... la, j' en reprendrait bien un peu.
Le spectacle, l' ambiance, les lumières, le bateau illuminé, la convivialité entre passagers, la, en tenue de soirée sous les étoiles ! ça : bien.
Heureusement que nous reculions nos montres le soir (6 fois) pour nous recaler le matin. Et puis de notre balcon, dans la vraie nuit noire : l' intensité et la quantité d' étoiles.... au milieu de l' OMessage 16 de 25 · Page 1 de 2 · 1 874 affichages · Partager
..... Continuons donc, après cette interruption dans ma rédaction, qui aura laissée passer une journée en mer, jusqu' a Casablanca.
Le temps n' était pas beau, nous rattrapons une dépression a hauteur de Malaga, et avons du mal a nous sortir de ce mauvais temps. Il ne pleut pas sans arrêt, mais il y a du vent, cela siffle toujours un peu dans notre cabine, et les activités du bord se concentrent a l' intérieur : Jeu de cartes dans le salon dédié (aux belles tables de feutre vert), ateliers ou activités divers dans un salon ou un autre, conférences en allemand ou en Anglais dans le théâtre transformé en salle de projection a grand écran. Dois je comprendre que les francophones connaissent tout, puisqu' il n' ont rien a nous expliquer, a nous ?.... je doute !
Comme souvent, nous passons Gibraltar : - de nuit, a l' heure du repas,... pas facile de voir du même regard, les lumières d' Afrique, et d' Europe. Parfois, d' ailleurs, l' heure annoncée du " passage "... n' est pas " tout a fait " exact. (Histoire de ne pas vider le restaurant en plein service.....) Mais il ne faut pas prendre tous les enfants du bon Dieu, pour des mouettes sauvages :.... certains.... !

Casablanca.
La ville, le port : 10 ans plus tard, les premières images (du balcon ou nous petit déjeunons Tire la langue) sont difficiles a comprendre.
Nous sommes amarrés pratiquement au même endroit qu' avec un Costa en 2003, et ne reconnaissons que peu d' espaces. Le paysage a évolué : La " grande mosquée " se voit toujours du bateau, mais beaucoup moins, des immeubles de belles tailles ont été construits devant, et alourdissent le paysage, également, sur la ville, de hautes constructions détruisent nos derniers souvenirs, le port de l' autre coté, s' est beaucoup modernisé,... et fonctionne. Des cargos, conteneurs... de la poussière, (même sur nos ponts) des parcs de voitures neuves (Logan, ou le sigle DACIA sur le coffre est remplacé par le losange RENAULT)
-.... A près de 19 h, un cargo vient s' installer en face de nous. A 22 h, nous appareillons. nous prenons l' air sur les ponts hauts après le dîner, et suivons la manoeuvre : autour du cargo, camions, grues, et ouvriers, participent a son déchargement sous les projecteurs ! et ce n' est pas le seul.... No comment.

Les escales proposées représentent, a nos yeux, des grandes distances en autocar. Marrakech, Rabbat, Fés sont au programme. De 8 h a 22 h en escale, permet effectivement de s' éloigner.
Nous sommes toujours sur des destinations " connues ", nous préférons descendre nous même en ville. Une longue marche vers la sortie du port et une température qui monte rapidement (ça nous change...) nous amènent a rebrousser chemin, et a piquer une tête dans les piscines et jacuzzis (dits : friteuses) toutes propres d' une eau du matin... toute neuve. Ah, des escales comme celle ci, la vie a bord du bateau s' apparente a celle d' un Yacht privé... pas désagréable.

La nuit vers Madère s' ajoutera aux autres.
La soirée " du commandant " est passée, et, " pratiquement " tout le monde a fait l' effort d' une tenue habillée,.... il y a un certain temps que beaucoup d' entre nous (aux expériences analogues..) n' avaient pas apprécié cela.
Pour la première fois nous sommes témoin d' un mariage en mer.
Le commandant, dûment habilité, nous confirme t' on, procède a l' union d' un petit couple vraiment mignon, la jeune mariée habillée d' une très jolie robe Blanche, a beaucoup de succès... avec la retenue qu' il convient, partout dans les salons. Les photographes officiels du Poésia ne savent plus dans quel sens tourner leurs appareils, et des extraits de films découvrent quelques instants du découpage du gâteau, (avec la famille dans un salon privé.) sur la grande TV du stand Photos. Ces jeunes Italiens pourront affirmer qu' a leur mariage : outre les proches..... 2000 personnes étaient autour d' eux ! (reconnu a Miami au débarquement.... ils pourront aussi évoquer leurs valises... avec la robes et les accessoires a ranger)

Madères.
Le port de Funchal adossé a la montagne, bénéficie d'une orientation : Sud, et en plus : il fait beau.
Pour y avoir déjà séjourné, en touristes, nous décidons de réviser en empruntant les Bus touristiques accessibles a la sortie du port.
Nous sélectionnons, d' office : les rouges. Ils sont stationnés après " les jaunes ", mais leur circuit autour de Funchal, est beaucoup plus complet, dure 1 h 30, et peut être refait, arrêté, repris, toute la journée avec le même billet.
Nous échappons aux vendeurs " des jaunes ", nous avons l' entrainement : nous venons de nous " farcir " les taxis juste avant, " Jaunes contre rouge " : notre Gros Lanta a nous, nous accédons au niveau supérieur du bus, pour notre confort. (..... la, je m' éclate ! pardon.)
Nous recommençons après le déjeuné,.... la même chose,... une averse en plus.

Le grand saut....
Nous quittons Madère vers 18 h, dans une ambiance sonore sophistiquée... et puissante.
Jusqu' a ce port, tout nos départs se faisaient avec discrétion. Sauf a Barcelone, ou nous saluions respectueusement (oui, c' était un gros) un collègue : Le fantasia, ailleurs :... Rien est encore de trop. (les départs + + + en musique de certains : la !!!)
Mais a Funchal ! : Des 3 longs coups de sirène... + 1, avec réponse d' un confrère, nous avons, enfin le commandement, nous gratifia d' un concert probablement sur le fameux thèmes : " grouilles toi, je n' ai pas que ça a faire ! "
Le petit paquebot devant nous, ayant, enfin quitté le port, jetant in fine, un ou deux boisseaux de décibels,.... le pilote ainsi récupéré, s' occupa de notre cas, mais mal de notre cap.
En effet, " vieux loup de mer " (ça y est, j' ai droit au titre) notre bateau, quitta la baie comme ceux qui retourne vers Gibraltar. (Nous l' avons déjà vécu plusieurs fois). Mais nous : la,... c' était de l' autre coté ! Après un arrêt au bout de la baie, un superbe demi tour (ou presque) un très beau panache de fumée noire, et beaucoup de monde aux fenêtre des maisons sur la falaise longée, ce que nous avons compris comme un compliment particulier au pilote, nous permis, a nouveau, de bien relever toutes les nuances sonores de ces conversations entre marins.
Le détail nous permis de faire un passage complet devant Funchal illuminé et coiffé d' un chapeau de gros nuages, du noir au rouge, suivant la volonté du soleil couchant. (.. et c' était encore plus beau que cela)

Si nous vivions une croisière classique de 7 jours, cette soirée serait proche de celle : " de l' adieu ".
La, nous attaquons seulement la traversée de l' atlantique : 6 nuits, 5 jours,.... et cela reprends de l' autre coté.

C' est bien aussi.

Allez, " on se retrouve plus loin " Bonne soirée,


Bon, ce soir, plus ne serait pas acceptable. A demain les " ceusses " qui suivent.

... 5 jours de mer viennent de passer.

Au départ de Funchal, la première nuit fut agitée pour nous. Une cabine a l' avant : vous ne ratez aucun détails, qui plus est, quand la mer, elle, n' en fait pas. Votre oreiller se venge des tortures que vous lui infligez d' habitude. Il vous remonte la tête en vous absorbant dans son épaisseur, puis, il vous abandonne la haut, et repart dans l' autre sens..... vous aussi donc, mais la :... il recommence !
J' imagine cet effet a la maison : une amplitude de plusieurs étages serait nécessaire comme espace pour reproduire cela.
Nous ça va, nous aimons. A 2 h 30 du matin, je me lève, un objet est tombé dans la salle de bain. Un produit de maquillage cylindrique type brosse a yeux de l' Oréal est sorti de son rangement, d' autres n' attendent que l' occasion : rangement d' une main, je me tiens de l' autre. Au retour, j' ouvre les rideaux du balcon, la nuit est noire, j' allume l' éclairage extérieur et, dans le mouvement lent habituel du bateau, je vois l' écume blanche du haut d'une vague (pas les embruns) passée dans la lumière.... Nous sommes au pont 9.... le pont 4 est déjà au dessus de la ligne de flottaison, la différence, de hauteur, pour une vague formée par la bateau..... ça commence a faire haut.
Je me recouche, pas de craquement de cloisons, rien ne bouge (... a l' intérieur) tout va,.... chapeau les gars de ST Nazaire.

La vie a bord est bien installée. peu, cherche encore l' avant du coté des cheminées, et le : " c' est par ou ? " est passé de mode.
Le matin, le pont 7, et ses extérieurs autour du navire voit défiler, (la, c' est le terme) les marcheurs.
Il me faut 720 pas pour 2 longueurs et 1 largeur par le tunnel avant. A un rythme intermédiaire, il faut 13 minutes pour un allé et retour. - Quel est la couleur de la coque du bateau ?
Beaucoup cherchent la réponse en marchand. Seul, a 2, voir 3 (pour les... bavardes), plus ou moins vite, avec ou sans tenue particulière, dans un état de fraîcheur bio-dégradable a particules actives modulables,.... la : MSC nous fait marcher !... mais ils ont intérêt a être au top a midi.
La haut, les chaises longues sont de rigueur, Nous ne sommes pas tous, sur ces ponts, le Poésia n' est pas complet, beaucoup de chaises sont encore empilées,..... mais il y en a partout, occupées, ou pas ! Dommage que MSC ne fasse pas respecter l' interdiction de réserver avec une serviette qu' il diffuse lui même. Le bateau complet, avec toutes les chaises opérationnelles.... ça peut être désagréable.
Nous trouvons : - tout la haut a l' avant pont 16 " solarium " : les adeptes du calme, - sur l' intermédiaire avant, pont 15 : les panoramiques, vous voyez tout le bateau, et la mer sur 180 degrés - autour de la première piscine pont 13 et 14, les friands d' animations et de musiques (jamais excessives) ensuite, et sur le tour arrière du navire : plus ou moins de bruit " moteur " lent, régulier, limite rassurant, mais ponts classables dans les espaces " calmes ".
Les salons ont leurs contingents : de joueurs de cartes, de " quizz ", de Bingo, de cours de danses (différentes d' un salon a l' autre le même jour, d' ateliers divers d' un jour a l' autre, de jeux, Et, aussi, de coins tranquilles pour lire, ou, siroter un truc face a l' océan dans un gros bon fauteuil.

Les journées passent gentiment. Nous sommes au 3 ou 4 ieme jour de mer... ??? Aucune importance : Fait chaud, fait beau.... Que va t' on manger ?, je n' ai pas bien faim ! (mais cela vient après.)

Les repas. (hors " cafèt " pour nous)

Comme déjà écrit, chaque carte proposée, a toujours la même architecture. entrée, potage, patte, plat principale, fromage, dessert. 2 choix dans tous les chapitres, 4 pour les plats.
Ne varient pas, les " toujours disponibles " pour ceux qui ne trouveraient pas d' idée sur la carte du moment. pattes, poissons, viandes... (même saignante) sur demande.
Nous ne sommes pas sur " célébrity Equinox " de notre PAP préféré, la marche est nette. Mais nous ne sommes point " ailleurs " non plus.
MSC présente sur cette traversée des menus variés, dont les saveurs sont franches, pas de goûts basiques sans réelles différences d' une sauce a l' autre accompagnant ce plat ou cet autre. Des thèmes s' accrochent aux escales, Espagne, Maroc, " Portouguaiche " (Clin d'oeil message privé) et même français..... a Pointe a pitre. Les fromages sont simples et basiques, les desserts.... une vraie provocation !
Au delà des saveurs, notre remarque la plus rapidement accessible : les choix sont nombreux, mais les parts sont plutôt petites. En quelques jours, vous transformez vos menus, et compensez par un plat supplémentaire, qui de toute façon, ne vous fait pas prendre dans tous les chapitres.
En fait, le repas est plus agréable par sa composition multiple.
Le personnel vous " connait par coeur ", Le maître d' hôtel vient régulièrement " tailler une bavette " comme dit chez nous, a notre table, toujours un bon avis, présence d' une excellente qualité. Bon, pour le match de foot : France / Italie, chacun son rôle. même si je ne suis pas ce sport.

Nous avons perdu toutes les chaines TV, pour les français, France 24 et son style, ne manque pas, et de fait, nous n' avons pas le temps. La position du bateau par l' image montre un trait rouge en diagonale de l' écran, avec un point qui clignotte au centre..... nous n' avançons pas !

Demain : les Caraïbes.
Les Caraîbes,.... et les cars a prendre !

par un beau matin chaud, nous abordons sur notre première ile de pirates : La Grenade.

Imaginez un petit port, ou vieillissaient a une époque, quelques galions bordés de canons, et sa petite ville de baraques en bois, dispersées autour de la baie.
La forêt tropicale au deuxième plan.
Vous y êtes ?

- Et bien, ce n' est pas cela... du tout !

Notre bateau est le troisième.
Un " Royal Carrib ", le (gros) " Princess EMERALD ", sont installés aux 2 quais du port. Le terminal accroché a la sortie, comme une boucle réunissant les 2 cotés d' une ceinture, gère le flot de passagers aux styles et provenances variées.
Un centre commercial (qu' il est, d' ailleurs) aux heures de pointes, voit, un coup le matin, un coup le soir, puis a la limite, toute la journée, la migration de : 8 000 passagers pour ce jour... a nous 3 ! Tout dans le naturel et la nuance.
Fort heureusement, ils ont de l' avance sur nous. Il en reste quand même " pas mal " au milieu des boutiques (organisées en "S " pour en mettre plus) mais nous rejoignons notre petit cars d' excursions.
Les guides locaux doivent être greffés avec de la " poule pondeuse ". Ils ont une capacité pour retrouver leur petits touristes complètement dispersés, voir paumés dans un autre groupe, ou, déjà dans une boutique.... s' en est admirable. Nos numéros d' excursion sont la, bien sur,.... mais nous en avons pratiquement tous un !..... et comme tous les bons artistes, ils connaissent leur numéro.

La visite de l' ile, par la traversée de la petite ville/port, sa campagne très verdoyante a la végétation exubérante et magnifique, ses petits habitats en bois, plus ou moins nets, éparpillés dans le paysage, son point culminant au panorama : de nuances vertes au sol, a la ceinture bleu de l' océan, en passant par les couleurs du ciel... vous donne un souvenir de l' endroit.... que vous avez, a peu près identique, toujours, d' une ile a l' autre.
L' histoire seule, offre, par le commentaire, des différences..... un coup les Hollandais, puis les Anglais, les Portugais..... et nous, souvent avant une " pâtée... "
(que les autres prennent aussi d' ailleurs, mais elle nous marque moins.)
Le séjour a la plage qui suit, est, par contre " Génial " ! - l' eau claire chaude, sur fond de sable blanc..... avec chaise longue et parasol automatique..... LE PIED ! Un jus de fruit frais, la serviette fournie par le bateau.... !! a part une fois, ou ils nous ont amené sur la plage, la nuit tombée...... mais c' est presqu' une autre histoire, nous y reviendrons.

Le coté " paradis fiscal " de ces endroits, peut se sentir... par moments. Les commentaires du guide sont pudiques,... et il s' amuse autant que nous. une population " hors sujet " se voit, mais, sous le soleil, et par la température ambiante, ou tout veut pousser plus vite et plus beau, cela semble moins agressif.

Chaque retour au bateau est un moment de récupération : calme, température, confort. Les soirées et nuits sont douces, et dans une parfaite insouciance.

Pointe a Pitre, Charlotte Amélie, Freeport peuvent bénéficier des mêmes commentaires.... en gros.

- Pointe a Pitre nous reçoit 5 h, c' est peu. mais beaucoup connaissent. Les excursions ne sont disponibles... qu' en Anglais !..... ????. Le " Club med II " est a coté de nous,.... toujours égal a " eux " mêmes, les commerçants autour du terminal trouvent notre bateau très beau, et le disent. Nous sommes d' accord.

- Charlotte Amélie, sur ST Thomas, est le premier port en territoire US. Les autorité américaines nous en font 6 caisses et 3 petits fûts (prononcez bien).
Tous le monde passe en file indienne, de tout le bateau vers le théâtre, pour recevoir son tampon sur le passe port, le staff, l" équipage, aussi !
C'est long, très long, ils sont : 14 a " occuper le navire ", et personnellement, leurs grands pères n' auraient pas débarqués en Normandie, je ne resterais pas sur ses mots. La veille, tous les groupes, sauf les américains, avaient été réunis pour bien expliquer : " la fiche verte ", en anglais, et a remplir sans rature... et comme il convient. Les salons transformés pour l' occasion, en une gigantesque zone d' interrogation écrite... sauf que les questions étaient en anglais.
Les " US Guards Coast " arrivent également, ils inspectent tout le navire (nous les voyons inspecter la coque de notre balcon), décident d' exercices divers pour l' équipage, font descendre les chaloupes (coté mer) avec manoeuvres a l' eau, et vont même décider une panne de production électrique au moment du repas de midi. Les ascenseurs s' ouvrent au pont 7, celui des chaloupes, et s' arrêtent,... nous ne nous apercevons de rien (hors annonce au micro), nous devons effectivement " être " sur les batteries partout, même au restaurant, le système fonctionne. Quelques commentaires " légers " du personnel en salle, pour l' effet donné en cuisine. Mais, nous déjeunons chaud.
Le Lendemain, un petit texte du Commandant, remerciait les passagers pour leur patience. Il précisait, aussi, que le bateau avait satisfait a tous les testes de sécurité demandés par les autorités.
(Bon,.. nous ferions cela en Europe..... euh.... !!, les bretons seraient probablement plus sereins)

- Freeport, n' a, a notre sens, aucun intérêt, hors la plage.
Encore faut il que le responsable de l' excursion ne nous traîne pas dans des sites commerciaux " bidons " mais probablement pas sans attractivités pour lui, avant de nous déposer pour 1 h 30 de bronzage sur la plage..... alors qu' il fait nuit.

MIami se découvre au petit matin avec un certain goût.
Le débarquement se passe très bien. Les autorités américaines contrôlent les passeports et ESTA, tout va vite, MSC est dans le coup. Nous partons découvrir ce Miami que nous imaginions par TV interposé, La ville, ses quartiers, immenses, sont pleins de contrastes, l' ambiance dans le car est a la rigolade..... a 18 h, nous serons dans l' avion.

Ce voyage : bien.

...... Vivement le mois de mars pour Santos / Venise, sur le MSC Fantasia (... encore plus long !) Cette croisière sera probablement ma prochaine contributions a cet exxxxxcelllent forum .

Merci a ceux dont la patience les a amenée jusque la. Par votre lecture, vous êtes mon dernier souvenir de cette " transat ".


CristianhcristianhCristianhcristianh Publié le : Dimanche 22 novembre 2020 @ 09:33:49